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jeudi 9 décembre 2010

Y'a-t-il une vie après l'ethnologie?

Jeudi soir, 22h28. Ma semaine est enfin finie (ou presque), je suis confortablement installée dans mon lit, je pourrais regarder un film "repose-neurones" en me gavant de cochonneries, penser à mes projets pour ce weekend (euh... bosser?), lire un bon bouquin, bavasser pendant des heures au téléphone avec ma meilleure amie ("Quoi??? Il t'a dit ça?? Naaaaaaaaannnn!! C'est pas vraaaiii!"), ou toute autre activité d'une importance capitale.
Mais non.
Au lieu de ça, je suis là, devant mon ordinateur, connectée à Blogger, pour écrire un billet sur mon blog ethnologue. Au lieu de ça, je pense à ce qu'on pourrait rajouter dans notre blog commun, à ce qu'il faudrait chercher sur Internet, à la façon dont va s'organiser notre dossier... Vous avez dit pathétique?
Ai-je pris goût à cette activité au point qu'elle devienne une obsession?
Ou est-ce un ras-le-bol tel que je me retrouve littéralement hantée par ce projet?
J'ai dans la tête les paroles d'une chanson de Klub des loosers* qui trottent: "Tu vois, de l'amour à la haine il n'y a qu'un pas..."

* Si d'aventure vous essayez d'écouter pour voir ce que ça donne, n'oubliez pas de prendre votre second degré avec vous! ;)

3 commentaires:

  1. C'est un syndrome, le symptome le plus répendu est le suivant : penser tout bas "Punaiiiiiiise je suis trop en retard et j'ai trois dossiers à boucler pour la semaine prochaine !!!!!!!"
    Le remède : un petit coup de pied aux fesses, quelques nuits blanches, beaucoup de café et de jus d'orange...
    COURAGE !

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  2. Il y a t-il une vie PENDANT l'ethnonologie ? Non aucune, toi geek, apprivoise ces TICE rebelles. L'ethnologie c'est l'immersion et ben, on y est en plein dedans !

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  3. Franchement je commence à penser à ses pauvres élèves entrainent à leur tour de passer des heures plantés devant leurs ordi pour préparer ce projet. Est cela évident ?

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